Gestion des facteurs esthétiques des édentements partiels terminaux au maxillaire supérieur

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Total Pages : 224 pages
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Book Synopsis Gestion des facteurs esthétiques des édentements partiels terminaux au maxillaire supérieur by : Bruno Gomez

Download or read book Gestion des facteurs esthétiques des édentements partiels terminaux au maxillaire supérieur written by Bruno Gomez and published by . This book was released on 2007 with total page 224 pages. Available in PDF, EPUB and Kindle. Book excerpt: La réalisation d’une prothèse partielle amovible esthétique dans le cadre d’un édentement terminal est un objectif difficile à atteindre. Tout d’abord parce que l’esthétique est une notion subjective mais aussi car les connaissances sur l’esthétique et les proportions du visage sont vastes et exhaustives. La maîtrise de la dissimulation des moyens d’ancrages mais aussi des éléments constitutifs de la prothèse tel que la fausse gencive, le châssis métallique, les dents artificielles, est nécessaire lorsqu’un résultat esthétique est souhaité par nos patients. Une prothèse amovible n’a pas pour seul but d’être esthétique mais aussi de rétablir une fonction masticatrice. Cette association entre la fonction et l’esthétique est à la base de toute la réflexion en prothèse partielle amovible. En effet il est difficile de concilier les deux et c’est pour cela que une excellente connaissance des impératifs de conceptions d’une prothèse amovible partielle est fondamentale. Les principes de sustentation, de stabilisation et de rétention décrit par Housset sont nécessaires à l’interprétation des mouvements de rotations et de translations de la prothèse. Les moyens mis en œuvres pour résoudre ces problèmes fonctionnels sont malheureusement souvent inesthétiques. Il existe des solutions comme les attachements de précision ou l’utilisation de l’implantologie dans certains cas, mais chaque solution présente des inconvénients et seule l’expérience du praticien lui permettra de faire des compromis. L’apport de l’implantologie dans le domaine de la prothèse partielle amovible pourrait paraître intéressante en vue des résultats obtenus avec la prothèse complète. Mais il n’en est rien, les données statistiques sont pauvres voir quasi nulles. Les quelques cas cliniques décrits par certains praticiens apportent un avis favorable mais uniquement fondé sur leur sens clinique et non sur des valeurs scientifiques. Il est donc aujourd’hui impensable qu’un omnipraticien puisse envisager sereinement l’implantologie dans le cadre d’une réhabilitation par prothèse partielle amovible.